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Aujourd’hui, je vais chroniquer Depraved , un city builder qui se déroule au Far West. Cette période de l’histoire n’est pas ma tasse de thé, mais il faut savoir aller au-delà. 😊 Tout d’abord, je lance le jeu sur mon ordinateur relativement puissant. Il y a un petit temps de chargement au lancement du jeu avant d’accéder à un menu fluide qui permet de mettre le jeu en Français parmi d’autres paramètres.  Si la désactivation des nuages est appréciable, il manque dans ce menu la possibilité de faire une nouvelle partie à partir de celle en cours. En effet, nous sommes obligés d’arrêter le jeu et de le relancer si on souhaite faire une nouvelle partie. De plus, ma GTX 1080 grimpe jusque 82¨C en jeu. La carte Arrivé sur la page qui permet de générer une carte ayant pour titre des chiffres, j’avais inséré du texte à la place de ces chiffres pour lui donner un nom, mais il s’avère que ce n’était pas une bonne idée car le jeu restait figé ensuite sur le chargement. Je tiens

Depraved rst un city builder qui se déroule au Far West.  Eau, nourriture, santé, humeur, crime sont les éléments à gérer dans le jeu dont la sortie est prévue le 20 juillet 2018 sur Steam . Les intempéries sont également à prendre en compte. Une autre source de nourriture est de plus nécessaire selon la population à charge.Si cette nourriture alors préférée n'est pas disponible, il sera toujours possible de nourrir sa population avec d'autres produits comestibles, mais l'humeur en sera affectée. Les habitants peuvent nuire à la ville, ou bien la quitter, en cas de mécontentement. Nos autres pages sur ce jeu Chronique Le libellé du jeu ci-dessous recense toutes les informations