Stranded Deep : aide, astuces, et première expérience

Dans cet article, je vous dévoile mes astuces que j’ai trouvé en jeu lors de ma première partie que je vais chroniquer ensuite. Cet article vise notamment à vous aider dans Stranded Deep.


Les touches sur PC

Clavier :

W - Avancer
A – Gauche
S – Reculer
D - Droite

Q – Lâcher un objet, pivoter les voiles dans le sens horaire
E – Action, pivoter les voiles dans le sens anti-horaire

C – Menu de fabrication
TAB – Contenu du sac à dos

Espace – Sauter, s’agripper, élever l’engin volant
Control (gauche) – S’accroupir, descendre l’engin volant

Echap – Menu pause
> < - Outil du développeur


Souris :

Clic droit : regarder dans les jumelles, se mettre en joue, maintenir l’objet lors de la nage
Clic gauche : zoom de la longue vue, lancer l’arme
Molette : zoom sur le cartographe

Les commandes sont personnalisables dessous le dessin de la manette du panneau Commandes.

Le cartographe

Au début, j’ignorais que l’on pouvait zoomer la carte, j’ignore comment mais les informations s’avèrent plus exactes pour nous diriger ensuite avec la boussole en jeu. 

Il est possible de générer une carte aléatoire à cet endroit avant de commencer une partie.




Les 3 têtes de mort représentent les lieux ou sont localisés les boss. L’île entourait de rouge affiche notre position comme ici (carte #10157357) où je me trouve sur l’île de Chuck Noland (le rôle de Tom Hanks dans le film Seul au Monde). Enfin, le porte-avion est le lieu qui va nous permettre de nous échapper de l’archipel et de finir le jeu.

Le nécessaire de production

Les éléments requis à la fabrication des différents objets, et notamment des objets de production, se trouvent dans un menu qui apparait en appuyant longuement sur la touche C. Une pression rapide sur cette touche affiche un menu rapide de fabrication d’objets.

Nous allons voir ici les produits bruts nécessaires à la production de l’eau, de l’essence, de crème, d’antidote, de corde et autres matériaux.

Pour la survie :

Distillateur d’eau : 4 feuilles de palmier ou 4 feuilles de fibre. Les feuilles fibreuses sont pratiques car nous pouvons en transporter 24 contre 4 feuilles de palmier dans une seule poche. De plus, cela permet d’éviter d’abattre des palmiers producteurs de noix de coco et nous pouvons aussi les cultiver. Ces petites feuilles servent aussi à la production de corde et de tissu.

Feu de camp, fumoir, poêle de fortune servent à cuire de la viande que l’on trouve en chassant les animaux. Personnellement, j’aime utiliser le fumoir car nous pouvons cuisiner jusqu’à 5 morceaux de viande en même temps. La viande ne semble pas se gâcher quand elle reste sur le fumoir. Des bâtons de bois seront nécessaires pour animer le feu.

Pour obtenir de la pierre requise à la fabrication de ces objets précités, nous pouvons en ramasser sur les îles, et nous pouvons aussi casser la roche en surface à l’aide de la pioche.

Pour la santé :

Le baume d’aloe : une crème solaire à appliquer lors des températures tropicales extrêmes, il suffit d’obtenir une noix de coco, de fabriquer une corde avec 4 feuilles de fibre, et d’y ajouter 2 aloe vera, puis boire la mixture.




Les poisons et l’antidote : il faut être attentif à l’environnement qui nous entoure.  Les étoiles de mer Acanthaster échouées sur les îles ou dans l’eau sont venimeuses et il en va de même pour les poissons Rascasses et ces longs poissons à rayures. Il faut également être prudent sur les îles à cause de la présence de serpent qui peuvent se confondre dans le décor. 

Le remède à l’empoisonnement est donc l’antidote que l’on peut fabriquer avec une noix de coco, une corde et une plante nommée Vigna Marina.


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Avant d’installer l’aloe vera ou la plante médicinale, votre personnage peut boire l’eau contenu dans la noix de coco.

A propos de la noix de coco : il y a plusieurs manières d’en obtenir : vous pouvez grimper à l’arbre (touches espace, W, S), sauter et prendre la noix de coco avec la touche E, ou encore abattre le palmier pour faire tomber les noix de coco.

Pour la construction :

La tannerie
 nécessite de la peau animale pour permettre la fabrication de cuir, utile à la construction d’outils et d’armes solides, mais aussi de l’outre et objets divers.

Le métier à tisser requiert des feuilles de fibre pour produire du tissu.

Le fourneau, et son extension (fabrique de briques) : le fourneau nécessite de l’argile pour fabriquer des jars d’eau ; l’argile est également nécessaire à la fabrication de briques pour l’outil de production à placer à côté du fourneau. Une maison en briques peut ainsi se concevoir avec un marteau adapté.

L’argile se trouve dans des blocs argileux sous l’eau, à extraire avec la pioche.

La fabrique de planches a besoin de bois. Elle peut être utile pour la fabrication de radeau et de maison.

Les cultures :

Il est possible de cultiver dans le jeu, des feuilles de fibre et des pommes de terre. Ces feuilles permettent la production d’eau, de corde, et de tissu. Quant aux pommes de terre, elles nous permettent de fabriquer de l’essence pour le moteur du radeau, du gyrocoptère, et de l’avion.

Une astuce consiste à garder les pommes de terre « gâchées » car elles peuvent toujours produire le nécessaire dans le distillateur d’essence. 

Une autre astuce consiste à ne rien faire si le mauvais temps a abimé les cultures. Elles repousseront.



Se protéger lors de la chasse

La chasse courante

Il est possible de chasser différentes espèces de poissons …de la sardine au requin-tigre. Il est également possible de chasser des petits crabes, des crabes géants, mais aussi des cochons, des sangliers, des serpents, des mouettes, et des chauves-souris.

Les crabes, le gibier, les serpents, et les requins sont hostiles à votre présence.

Par contre, cet animal est inoffensif : 




S’agissant des crabes, la lance de pêche rudimentaire est la meilleure arme face à ces crustacés. 

Pour se protéger des coups de pinces des crabes géants, il faut se mettre au bord de l’eau, car ces crabes restent sur l’île. Attention toutefois aux petits crabes dans l’eau. Une autre solution consiste à se placer en hauteur, par exemple sur un rocher car de cette manière, les crabes géants ne peuvent pas vous atteindre, mais vous pouvez les attaquer en étant accroupi sur votre rocher. 

Ces 2 méthodes fonctionnent aussi avec le gibier, la plus adaptée étant celle du bord de l’eau. La lance perfectionnée et l’arc et ses flèches sont de bonnes armes contre ces animaux. Vous pouvez aussi utiliser l’arc contre le serpent, les mouettes et les chauves-souris.

Le lance-harpon contre les requins est très efficace.

Les raies, les baleines, les jeunes requins et les tortues semblent indestructibles.

La chasse aux boss

Afin d’éviter au mieux « l’attaque des dents de la mer » du Meg, ce requin qui tente de vous manger… il est préférable de rester accroupi sur le radeau tout en l’attaquant et faire en sorte qu’il ne s’approche pas trop de vous.

Tous types de lances sont bons contre Abaia, la murène à longue queue.

Quant à Lusca, il faudra prévoir plusieurs lances perfectionnées et des bandages pour tenir tête à ce calmar colossal.

Pour tous les boss dans le jeu, il faut constamment bouger. 

En outre, je ne sais pas s’il s’agit d’un bug ou si c’est normal, mais les boss semblent ne pas sortir de l’eau pour nous attraper quand la tempête est présente. J’ai constaté cela avec le Meg, et Lusca visible en vidéo.

La longue vue sera utile pour rechercher les boss : on verra le Meg en plein repas, le dessus d’un bateau de guerre sous les eaux servant de résidence à Abaia, et il faudra repérer une bouée jaune pour trouver Lusca alors agrippé dessous.

Les avertisseurs

Ce que j’appelle les avertisseurs ici sont les différents sons en jeu. En effet, il est préférable de garder activé le volume du PC et de ne pas mettre de musique lorsque l’on joue à ce jeu.

Chaque musique, chaque petit son nous renseigne.  

Une musique indique qu’il n’y a pas de danger, que l’on peut voyager sereinement ; une autre musique indique la présence de requin qui rôde autour ; il y a aussi la musique contre chaque boss.

Nous pouvons entendre le bruit d’une dose d’eau créée par le distillateur, comme nous pouvons entendre le sifflement du serpent proche, la présence des autres animaux, et notamment celui du requin qui donne un coup dessous notre radeau.

D’autres sons figurent dans le jeu mais ceux-là sont les principaux auxquels il faut prêter attention. 

Le gyrocoptère

Je me suis rendu compte que le gyrocoptère était bien plus rapide quand on vole au ras de l’eau. Il doit s’agir d’un bug et je pense que l’effet ne devrait être que visuel, mais ce n’est pas le cas, car cela est également plus visible avec la consommation du carburant de l’engin.

Aller-Retour, j’ai parcouru 2 îles dans les airs et 4 îles au ras de l'eau qui, de plus, étaient bien plus distantes.


Les préparatifs de départ

Le Meg, Abaia et Lusca déverrouillent à leur mort un élément à installer sur l’avion qui nous aidera à partir. Mais il faudra construire ces éléments une fois que vous les aurez tous combattu, sinon il faudra tuer de nouveau le Meg et Abaia. Il doit très certainement s’agir d’un bogue dans le jeu…

Il faudra prévoir une caisse de viande cuite pour le départ, 10 portions d’eau et 2 jerrycans pleins. 

Chronique d’un parcours, seule au monde

Pour commencer, je remercie Epic Games pour la gratuité de ce jeu sur une journée. Un jeu auquel nous pouvons jouer en solo ou en coop, à la première ou à la troisième personne.




Le côté simulation et construction m’a attiré, mais j’ignorais si ce genre de jeu me plairait, et visiblement, ce fut le cas, à un tel point que je n’arrivais pas à lancer un autre jeu, comme par exemple ceux dont les chroniques sont prévues… En même temps, je n’ai vraiment pas l’habitude des jeux qui ont une fin.

Cependant, je n’ai pas apprécié tous les bugs que j’ai pu rencontrer en jeu, ni le manque d’informations sur les éléments nécessaires à la production, ce qui m’a obligé à chercher sur internet. Je n’ai pas recherché comment combattre les boss ou autres et j’ai préféré découvrir par moi-même comme par exemple contre Lusca, je me suis rendu compte que je n’avais pas les bonnes armes, m’obligeant ainsi à rentrer chez moi – ma maison étant construite sur l’île du porte-avion qui se trouve à l’autre bout de la carte - pour pouvoir y fabriquer des lances et donc, j’avais besoin de la tannerie, et du métier à tisser pour des bandages alors présents sur place.

J’aurais préféré voir une meilleure simulation du vent ; faire pivoter les voiles aide rarement à l’avancée du radeau. D’ailleurs, mon radeau déploie ses deux voiles de sens différents l’une et l’autre parfois. Il faut appuyer sur Q pour les tourner toutes à fond pour qu’elles soient toutes deux dans le même sens.

J’aurais préféré voir aussi une meilleure simulation de cette eau qui tourbillonne, visible de haut. Parfois, je me demande si les murs transparents ne fausseraient pas cette simulation la forçant ainsi à tourner, tourbillonner... Sans doute aussi dû à la mécanique du vent, mais quoi qu’il en soit… Pour moi, il y a un souci avec ça et j’espère qu’il sera résolu. 

J’aurais aimé voir de vraies vagues, mais je me demande si cela est possible car il est difficile de trouver un jeu avec de vraies vagues, ou même de belles cascades… Mais pourquoi n’y a-t-il pas de grotte dans Stranded Deep ? Chuck Noland s’est pourtant bien abrité dans une grotte dans Seul au Monde. Alors pourquoi ne pas imaginer de grotte gardée par des animaux sauvages ?

Des rapides auraient pu être aussi imaginés, ce qui aurait permis de s’amuser encore plus.




Malgré tous les bugs que j’ai rencontré (l’orientation, les ceintures qui ne remplissent pas leur fonction, Abaia et les requins qui tournent sur eux même, mes voiles qui ne sont pas dans le même sens, le moteur du radeau qui fonctionne comme un gouvernail sans aucune accélération, les objets de l’avion construits après chaque boss tué qui obligent à tuer de nouveau ces boss, un ciel blanc de jour comme de nuit, le gyrocoptère en altitude, les animaux qui chargent en cercle, perturbés par les objets sur les îles, le bras du personnage qui ne fonctionne plus d’un coup que l’on tienne un arc, une lance, …,ou un speargun face à un boss ou un subordonné, le poids des objets à revoir, les mouettes qui traversent le porte-avion et autres bugs mineurs…), j’ai très apprécié ce jeu qui était sorti sur Steam en accès anticipé en 2015 et qui semble toujours l’être aujourd’hui, chose que j’ai du mal à comprendre étant en 2021. 

Le fait de pouvoir bâtir des radeaux, des maisons, des points de stockage pour ma gestion, un gyrocoptère et différents objets m’attire beaucoup, moi qui aime créer des communes, des entreprises pour les gérer ensuite. 


Mon plan de fabrication conceptuel de ma maison était stratégique car le terrain de sable ondulé à cet endroit, et l'accès à ce porte-avion qui m’a beaucoup intrigué en jeu, étaient un peu pénibles au fil du temps, comme je l’ai précisé sous ma vidéo, même si j’ai compris l’entrée au porte avion, c’est-à-dire, marcher vers le point le plus élevé du côté droit de l’accès, pour ensuite sauter et atteindre l’autre bout.

La face exploration me plait tout autant, mais je regrette que les fonds marins ne soient pas plus étendus et d’ailleurs, là encore, nous pourrions imaginer des grottes, sous l’eau.

J’aurais placé ce jeu dans ma liste de jeux grandioses de ma page curateur Steam s’il n’y avait pas eu tous ces bugs qui semblent perdurer et qui m’ont fait perdre un temps considérable en jeu, à commencer par celui de l’orientation entre la carte et la découverte tardive du zoom, et le mouvement anormal tourbillonnant de l’eau, j’aurais fini le jeu depuis longtemps, c’est certain d’autant plus que je ne fais pas parti de ces personnes qui ont un problème pour s’orienter dans un espace. Les choses se sont bien mieux déroulés pour moi après avoir cherché les causes dans le jeu.

Cet article n’était pas prévu, tout ce temps de jeu non plus, mais rien ne s’est déroulé normalement avec Stranded Deep qui a su bouleverser mon agenda d’admin de deux sites… Epic Games a offert plusieurs jeux gratuits en hiver dernier dont Stranded Deep que je ne connaissais pas. Il fut le premier de ces jeux gratuits auquel j’ai joué et je me suis retrouvé comme « Stranded Deep », un jeu qui porte bien son nom !






Après le crash de l’avion, j’étais comme dans la peau de Chuck Noland (Seul au Monde) sur mon radeau de sauvetage, j’ai ramé jusqu’à l’île la plus proche pour y résider un temps. J’avais construit un abri de fortune qui est le seul élément avec le lit pour permettre de dormir et surtout sauvegarder sa partie. Je me nourrissais beaucoup de noix de coco en début de partie, mais trop de noix de coco peut favoriser l’effet inverse, j’en ai fait l’expérience. 

J’ai donc fabriqué un petit radeau que j’ai agrandi par la suite, grâce aux éléments que j’ai pu récupérer sur les différentes îles et dans les épaves lors de mes nombreuses excursions. Ces radeaux sont visibles dans ma vidéo contre les boss, disponible au bas de cet article. J’ai aussi construit un entrepôt sur cette île avec le temps pour y mettre mon stock.

Seule au monde, au milieu de nulle part, pas un semblable dans la zone géographique, juste des animaux sauvages qui n’hésiteront pas à couper le fil de votre vie pour garder leurs territoires. La loi du plus fort se met alors en place. Avec des armes et de la ruse, je parviens à tuer les animaux hostiles qui m’attaquent, et j’emporte la viande qu’ils peuvent me fournir, pour ma survie. Plus tard dans la partie, j’emporte même la peau du bétail pour me fabriquer du cuir, essentiellement pour avoir des armes et des outils plus solides qui se détérioreront plus lentement dans la durée.

J’ai sillonné toute la zone, du nord au sud, de l’est à l’ouest, un mur transparent infranchissable se trouve aux quatre coins de la carte. D’ailleurs, il aurait été judicieux d’ajouter un lien vers le cartographe dans le menu Pause.




J’ai exploré un bon nombre d’épaves et je trouve un peu regrettable qu’il n’y ait pas moyen de récupérer des éléments de ces épaves mêmes (moteur, tissu, carcasse, etc) nous pourrions imaginer des bateaux différents (navire, croisière, canoé…) avec par exemple une cuisine professionnelle et plusieurs denrées à l’intérieur d’un bateau de type croisière ou encore des rideaux en tissu à récupérer sur un bateau privé perdu… Le gameplay serait enrichi davantage. Bien sûr, la modélisation serait plus longue aussi.

Dessous l’océan se trouve la zone abyssale, il n’y a rien à explorer, même avec une bouteille d’oxygène, ce qui est dommage car une plus grande zone de fonds marins à explorer aurait été bien appréciable plutôt que de se limiter aux alentours des îles et à l’exception « Abaia ». Les fonds marins pourraient aussi se jouer sur les niveaux de profondeur, d’autant plus qu’ils sont très réussis et agréables dans le jeu.

Le ciel a aussi une limite, nous le constatons avec le gyrocoptère que l’on peut fabriquer avec différents éléments de moteur disponibles dans les boites des épaves. L’appareil émet un bruit lorsque l’on atteint cette limite qui est plutôt normale dans un jeu. 




Au fil de ma partie, j’ai trouvé une petite astuce pas très réaliste pour pallier au bug des ceintures, les boites en bois que nous trouvons dans les épaves comportent trois compartiments dans lesquels nous pouvons stocker entre 4 et 24 même objets par compartiment, je mets ces boites dans mon sac à dos, ce qui me permet de récupérer deux compartiments supplémentaires par boite.

Toutes les îles sont très ressemblantes les unes des autres – un aspect voulu je pense, mais j’ai constaté que le gros gibier est absent des îles sans roche. Je pense que ce jeu est surtout une affaire d’orientation, et d’observation.


Après avoir combattu le Meg une deuxième fois suite à ce bug évoqué plus haut, je me suis installé sur cette île où se trouve le porte-avion, j’ai commencé à bâtir la fameuse maison de la première vidéo et j’ai combattu Abaia à la pause pour ensuite finir la construction. Cet emplacement est également un bon point de repérage de mon île résidentielle, avec ce navire visible de loin.

Lors de mes différentes traversées, j’ai trouvé Wilson sur une île qui est une référence directe au film Seul au Monde dans lequel l’acteur Tom Hanks incarne Chuck Noland. J’avoue que cela m’a bien fait rire sur le coup car je ne m’y attendais pas.

C’est un jeu très plaisant qui comporte des moments de sérénité, et des moments de panique. Un jeu très agréable qui mêle l'aventure, l'exploration, le savoir-faire, et la survie de l'homme, mais l’aspect de la chasse, et les scènes avec les boss ne sont clairement pas pour les enfants. Toutes autres personnes intéressées par ce jeu peuvent y jouer, notamment grâce à une possibilité dans les options du jeu. En effet, je n’aurais pas pu jouer à ce jeu si l’effet « mal de mer » n’était pas réglable, alors je dis Bravo Beamteam, le développeur du jeu, pour cet élément essentiel.

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