[Chronique] Bus Driver Simulator 19

Introduction

Voici enfin ma chronique pour Bus Driver Simulator 19 ! Cela fait des mois que cette chronique est prévue, mais j’ai voulu laisser du temps aux développeurs pour corriger les soucis de jouabilités que je rencontrais.

Initialement nommé Bus Driver Simulator 18, le jeu paru en accès anticipé en janvier 2018 se nomme désormais Bus Driver Simulator 19 – A ne pas confondre avec le jeu Bus Simulator qui est présent sur le marché du jeu vidéo depuis plusieurs années…

Le visuel

Voici l’image d’introduction du jeu qui affiche une ombre tremblante en mode ultra. Cette ombre ne tremble plus dès lors que je reviens de la fenêtre des options en ayant rien modifié là-bas.






Cette même image affiche d’entrée un aspect dépassé par rapport à la concurrence en matière de simulateurs. 

Je m’attendais à voir pire une fois en jeu, mais ce n’est franchement pas non plus l’extase, en particulier si on aime apprécier l’art d’une manière globale et la qualité de désign qui est nettement en retrait ici.

Comme ces roues d’une qualité médiocre….



De plus, lorsque nous mettons la caméra dans le jeu pour voir le bus dans son intégralité, je constate qu’il n’y a pas de personnage que l’on dirige.

Enfin, j’ai relevé le mot « Recommenc » dans le menu qui propose aux joueurs Francophones de recommencer une partie, soit un petit bug simple qui perdure…

Le jeu et sa jouabilité

Quand j’ai obtenu le jeu, il y a maintenant plusieurs mois, rien ne fonctionnait. Je ne pouvais rien faire, même dans les options.  Au jour d'aujourd’hui, j’ai tenté de jouer avec mon volant G920 qui fonctionnait mais sans les pédales, j’ai bien tenté au clavier mais je ne trouve pas dans les options, les commandes pour pouvoir faire avancer mon autobus. Puis, j’ai tenté la manette Steam où je pouvais enfin commencer à Rouler !

Mais la conduite n’est pas destinée à la joie-habilité dans la mesure où l’on zig-zag trop facilement. 

Par conséquent, je n’aurais pas vu grand-chose en jeu, juste 1 km ou 2 mais cela a été suffisant pour voir le comportement de l’inintelligence artificielle, comme ce véhicule qui me rentre dedans et sans prévenir, malgré la ligne blanche sur la route.

La maîtrise du véhicule est en réalité une catastrophe et que dire des fonctions possibles sur le tableau de bord, sur lequel il est uniquement possible d’actionner les boutons pour chacune des portes du véhicule et le reste comme l’éclairage par exemple, ne peut se faire qu’au clavier.



Par ailleurs, il est impossible de personnaliser nos trajets accessibles depuis le garage, car ils sont tous prédéfinis. A ce sujet, je me demande pourquoi la carte n’est pas fixe puisqu’il n’y a pas de continuité au-delà du carré de visualisation.

Conclusion

S’il y a eu des petites avancées dans les corrections de bugs, et dans les graphiques depuis ces quelques mois, nous sommes encore bien loin de l’émerveillement. 

Le jeune jeu a des allures dignes d’un vieux jeu, où la modernité est absente tant dans la conception visuelle que dans sa technicité qui, de surcroit, ne peut pas garantir sa pérennité.

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